Voulez-vous vraiment vous faire vacciner ?

De plus en plus de médecins mettent en garde contre les dangers des vaccins covid-19 qui sont sur le point d’être administrés à une première partie de la population française.

Il n’existe en effet à ce jour aucun élément de preuve concernant leur efficacité et leur innocuité. En particulier, les vaccins à ARN (il s’agit d’injecter dans le corps une séquence d’ARN qui “dicte” à nos cellules de construire des antigènes) comme ceux de Pfizer / BioNTech représentent une nouvelle technologie très contestée qui n’a jamais été utilisée chez l’humain. Nous serions alors des cobayes, et nous rentrerions dans une nouvelle ère : les humains génétiquement modifiés. Ce vaccin sera administrée dès ce mardi 8 décembre en Angleterre.

Je propose dans cet article de mettre en avant les analyses et les arguments de plusieurs médecins et scientifiques français et internationaux concernant la campagne vaccinale qui pourrait débuter d’ici quelques semaines, notamment pour nos anciens dans les ehpads.

La lettre aux français du Professeur Perronne

Le Professeur Perronne est chef du service des Maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital de Garches (92). Il est également l’ancien président de la commission spécialisée Maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique. Il a été, en 2009, vice-président du groupe European Advisory Group of Experts on Immunisation (ETAGE), qui conseille la politique vaccinale européenne de l’Organisation Mondiale de la Santé.

Le 30 novembre 2020, il publie une lettre aux français, les mettant en garde contre les dangers de la vaccination à venir :

Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’Etat.

Il avertit que les « vaccins » à venir sont en fait de la thérapie génique, c’est-à-dire une stratégie thérapeutique qui consiste à faire pénétrer des gènes dans les cellules ou les tissus d’un individu pour traiter une maladie. Cela constitue une première chez l’humain. Nous serions alors des cobayes, car nous ne connaissons pas les conséquences d’une telle méthode sur l’organisme. Voici ce qu’il explique à ce sujet :

Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble. Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

Vous pouvez lire l’intégralité de sa lettre ici : Le Professeur PERRONNE sur les vaccins.pdf – Google Drive.

Par ailleurs, les prises de positions courageuses du Pr Perronne lui valent un acharnement des institutions médicales françaises. Cela est le cas de tous les médecins et experts qui « osent » remettre en question la doxa officielle sur le covid-19 : L’acharnement contre le Professeur Perronne (francesoir.fr)

Le communiqué du Dr Yeadon et du Dr Wodarg

Le 3 décembre 2020, FranceSoir a reproduit le communiqué du Dr Yeadon et du Dr Wodarg pour la suspension des études sur les vaccins SARS-CoV2, en particulier l’étude de BioNtech / Pfizer. Ils s’adressent à l’Agence européenne du médicament et à tous les européens. Le britannique Michael Yeadon est l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer (entreprise en course pour la mise sur le marché du vaccin covid-19). L’allemand Wolfgang Wodarg est un médecin et homme politique (ancien parlementaire du parti social-démocrate). Il est l’ancien président du Comité santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Ils affirment dans leur communiqué que les tests de ces vaccins sur les humains sont contraire à l’éthique. Ces derniers pouvant entraîner des réactions immunitaires excessives, une infertilité d’une durée indéfinie, ou encore des réactions allergiques, voire mortelles. Leurs préoccupations portent notamment sur les points suivants :

La formation d’anticorps dits « non neutralisants » peut conduire à une réaction immunitaire excessive, en particulier lorsque les sujets testés sont confrontés au vrai virus « sauvage » après la vaccination. Cette soi-disant amélioration dépendante des anticorps, ADE, est connue depuis longtemps par des expériences avec des vaccins corona chez le chat. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir été infectés par de vrais coronavirus. Cette réaction excessive est encore favorisée par les boosters actifs. Les vaccinations devraient produire des anticorps contre les protéines de pointe du SARS-CoV-2. Cependant, les protéines de pointe contiennent également des protéines homologues à la syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que les humains. Il doit être absolument exclu qu’un vaccin contre le SRAS-CoV-2 déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine-1, sous peine de provoquer une infertilité de durée indéfinie chez les femmes vaccinées. Les vaccins à ARNm BioNTech / Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance – cela signifie que de nombreuses personnes peuvent développer des réactions allergiques, voire mortelles, à la vaccination. La durée beaucoup trop courte de l’étude ne permet pas une évaluation réaliste des effets à long terme. Comme pour les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe porcine, des effets à long terme ne seraient observés qu’en cas d’approbation d’urgence planifiée alors qu’il est déjà trop tard pour des millions de personnes vaccinées. Les gouvernements prévoient d’exposer des millions de personnes en bonne santé à des risques inacceptables et de les forcer à vacciner en appliquant des restrictions discriminatoires à ceux qui ne sont pas vaccinés.

La mise en garde de la généticienne Alexandra Henrion-Caude

Alexandra Henrion-Caude est une généticienne de renommée mondiale, ancienne directrice de recherche à l’Inserm à l’Hôpital Necker, et actuelle directrice de l’institut de recherche Simplissima. Le 4 décembre 2020, elle est l’invitée de l’émission Sud Radio, dans laquelle elle dénonce le manque de preuves de l’efficacité et de l’innocuité des vaccins covid-19. Cette interview a été supprimée de YouTube mais un extrait est visionnable ci-dessous.

Alexandra Henrion-Caude explique que les « preuves » reposent sur des communiqués de presse et non pas sur des études scientifiques indépendantes. C’est-à-dire que ce sont les laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes qui font leurs compte-rendus et leurs propres interprétations de leurs essais sans que personne d’extérieur ne puisse intervenir. Nous n’avons pas accès aux détails des publications scientifiques (profil des personnes testées, leurs comorbidités, leur âge, etc.).

Elle poursuit en rappelant que le recul qu’il y a sur les essais cliniques de Pfizer / BioNTech est de 28 jours pour la première injection, et 6 jours (!) pour la seconde injection. Ce n’est pas suffisant pour se faire une idée de l’efficacité et de la sûreté d’un vaccin, encore plus quand il s’agit d’un virus dont la circulation est faible et dont la mortalité est très faible (0,05%). Elle interpelle sur le fait qu’on va vacciner des millions de personnes qui sont en très bonne santé et pour lesquelles la maladie ne présente pas de risque. Le taux de létalité du covid-19 est semblable à celui de la grippe, qui ne nécessite pas de telle campagne de vaccination. La situation est totalement disproportionnée.

De plus, il n’y a pas dans les rapports des essais cliniques de données sur l’interruption de la transmission. Autrement dit, ces essais cliniques ne prouvent pas que le vaccin interrompt la transmission du virus. Donc si les gens se vaccinent pour protéger les autres, c’est une mauvaise idée !

Dernier point, les essais ne prouvent aucunement que l’efficacité du vaccin sur la diminution des formes sévères. Il n’y a pas de preuves que ce dernier diminue les admissions à l’hôpital ou en réanimation. Au contraire, dans le rapport de Pfizer, il est explicité que chez les personnes vaccinées, 1 personne sur 8 a développé des formes sévères du covid-19, et chez les non vaccinées, 1 personne sur 16. Il y a deux fois plus de chance de développer des formes sévères du covid-19 en se vaccinant ! Elle conclut :

C’est pour ça que beaucoup de collègues scientifiques dénoncent l’imposture invraisemblable de ce vaccin covid attendu comme la solution à notre survie. Et bien, je ne crois pas, que la survie de notre espèce soit conditionnée à ce vaccin, ou alors c’est parce qu’on nous l’aura imposé.

Ces propos sont particulièrement inquiétants car ils insinuent que l’avenir de l’humanité pourrait être lié à cette obligation vaccinale, mais pas d’un point de vue médical…

Le Dr Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur

Le Dr Louis Fouché est médecin anesthésiste-réanimateur à Marseille. Il est également à l’origine du collectif REINFO COVID qui rassemble des soignants, médecins, chercheurs, universitaires et citoyens autour du sujet de la santé en France et notamment de la gestion du covid-19.

Il est invité dans l’émission Morandini Live le 24 novembre 2020 pour s’exprimer au sujet des vaccins contre le covid-19.

Vaccin: Le Dr Louis Fouché provoque énormément de réactions sur les réseaux sociaux après son passage dans « Morandini Live » ce matin – VIDEO | Jean-Marc Morandini

Il rappelle tout d’abord que la létalité du covid-19 est de 0,5% (ce qui veut dire que 0,5% des personnes positives décèdent du covid-19, autrement dit 99,5% des positifs ne décèdent pas) et que la mortalité est de 0,05% (ce qui veut dire que 0,05% de la population meurt du covid-19, autrement dit 99,95% des gens survivent). Et cela sans vaccin, et malgré une prise en charge sanitaire absurde [on pense notamment à l’interdiction de l’hydroxychloroquine, à la non-prise en charge des malades priés de rester chez eux et de prendre du doliprane, ou encore à l’administration du rivotril qui a tué des milliers de personnes âgées]. Il explique que c’est une maladie qui n’est « pas très grave », mais qui, déjà, encombre le système de santé [les politiques de « santé » des dernières décennies ayant cassé le système médical français, et cela continue pendant l’épidémie covid-19].

Il rappelle cette phrase de Mike Ryan, directeur du programme de l’OMS de gestion des situations d’urgence sanitaire : « il y a pire qu’un mauvais virus, il y a un mauvais vaccin ». En effet, lorsqu’on administre un vaccin à des personnes saines, il faut que ce dernier soit de sécurité maximale, car il ne faut pas rendre malades des personnes en bonne santé. Il y a un problème avec ces vaccins car on ne peut pas savoir quels en seront les effets secondaires.

Sur la plan juridique, il précise que les effets secondaires et indésirables des vaccins covid-19 ne sont pas remboursés par les firmes vaccinales. Cela veut dire que ce sont les français qui vont payer pour ces effets secondaires. L’Etat n’a pas intérêt à voir les effets secondaires, sinon il devra payer, et donc il y a très peu de financement sur la recherche sur les effets secondaires. La bibliométrie autour des effets secondaires des vaccins est très faible. Très peu d’équipes peuvent travailler dessus. Il y a un problème éthique et juridique.

Il y a également un problème économique : c’est un trop gros gâteau, il y a trop de conflits d’intérêts.

Il y a un problème démocratique car les médecins, le pouvoir et les marchands prennent le pouvoir sur nous. Nous sommes souverains de nos corps et nous devons le rester. Les médecins et l’Etat ne doivent pas « rentrer chez nous ».

Concernant le débat anti-vax ou pro-vax, ce sont des termes qui selon lui « écrasent la pensée » : « les mots sont des fenêtres, ou bien ce sont des murs ».

En tant que médecin, à la question : « Que dites-vous à vos patients qui vous demandent s’ils doivent se faire vacciner », il répond : « bien sur que non, vous n’êtes ni des cobayes, ni les jouets du gouvernement ou des puissances d’argent, bien sûr que non il ne faut pas vous faire vacciner ».

Il y a deux grandes raisons pour lesquelles il ne faut pas se faire vacciner, la première c’est qu’il n’y a aucune étude qui montre l’efficacité des vaccins, mais seulement des communiqués de l’industrie. Deuxièmement, car il s’agit d’une nouvelle technologie sur laquelle nous n’avons aucun recul : le vaccin ARN. Il explique que l’ARN peut se rétrotranscrire : nous avons 8% de notre génome qui est composé de virus rétrotranscrits. Les gens pourraient alors intégrer du virus dans leur génome, et ça c’est pas bon du tout. Cela peut être à l’origine de la schizophrénie ou de maladies de ce type. Le rapport sénatorial sur la grippe H1N1 rapporte que les firmes vaccinales ont tout fait pour que la peur soit l’argument principal de toute l’épidémie car c’est leur meilleur argument marketing.

L’intelligence du courage, c’est de se renseigner.

Il conclut en rappelant que le cursus de formation des médecins n’intègre que 4h de cours sur les vaccins et que malheureusement, la plupart des médecins ne savent pas comment ils fonctionnent ni ce qu’il y a dedans.

Le Dr Louis Fouché approfondit de manière détaillée, sourcée et bienveillante, tous ces éléments, dans la vidéo Louis Fouché : Immunité artificielle ? Invitation à la prudence disponible sur la chaîne YouTube REINFO COVID.

Ces éléments sont également disponibles dans son article sourcé du 1er décembre 2020 : Vaccin et Covid-19 : une précipitation aux risques multipes (reinfocovid.fr)

Censure autour des vaccins

La censure sur les réseaux sociaux est absolument inouïe actuellement dès lors que nous posons des questions sur l’innocuité des vaccins anti-covid-19 et que nous interrogeons la gestion politico-médiatique de l’épidémie.

L’image contient peut-être : texte qui dit ’38% 23:23 http://ww.v.co/cco.. COVID-19: FACEBOOK INTERDIT DÉSORMAIS D'AFFIRMER QUE LE VACCIN CONTIENT DES NANOPARTICULES Le03/12/2020à16:32 f Le réseau social précise ses conditions d'utilisation afin de combattre les fausses informations et ceux qui issuadent la population de se faire vacciner contre le Covid-19.’

Alors même que la véracité des informations est très facilement vérifiable (concernant les nanoparticules dans les vaccins notamment : Novavax-Nanoparticle-Covid – MesVaccins.net).

Mon article du 27 avril 2020 sur les vaccins fut censuré sur Facebook et m’a coûté la suppression immédiate de mon compte Linkedin.

De nombreux médecins sont également censurés depuis le début de l’épidémie. Même le président des Etats-Unis, Donald Trump, est censuré par les médias mainstream lorsqu’il explique que la version officielle de la pandémie est mensongère.

Par ailleurs, l’ensemble des médias mainstreams, télévision, radio et presse, ne font que désinformer depuis le début de l’affaire covid-19, tout comme le gouvernement. Et alors que la vérité émerge de plus en plus rapidement dans toutes les strates de la société, le système médiatico-politique continue à mentir éhontément, pendant que le gouvernement instaure des mesures de plus en plus liberticides et injustifiées (et parfois burlesques comme l’interdiction des remontées mécaniques dans les stations de ski, alors que plusieurs centaines de milliers de personnes s’agglutinent dans les rue pour manifester contre le gouvernement).

Quel est leur but ? Et pourquoi s’apprêtent-ils à mettre en place une vaccination qui les rendrait susceptibles d’être jugés pour crime contre l’humanité ?

Quelques pétitions contre la vaccination :

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